DRUMMONDVILLE
Le concert ‘Rendez-vous spirituel’ d’Anne-Marie Dubois et Pierre Beaudry, la virtuosité à l’honneur @ Crédit photo Denis Grenier. Tous droits réservés.
Il était constitué principalement de pièces mariales de Liszt, Saint-Saëns, Gounod, Rombi, Mascagni, mais aussi des bijoux de Bach, Marcello et Saint-Saëns. Voici des commentaires reçus par écrits, sur le Messenger de la pianiste, à ce sujet :
Denise Joyal, 10 ans d’études en piano, avec les soeurs-de-la-Présentation-de-Marie à Drummondville et au Collège St-Maurice à St-Hyacinthe : « J’ai beaucoup apprécié ton concert, ton interprétation était magnifique. »
Denis Lambert, musicien autodidacte, poète et « passeur culturel », ayant fait reconnaître, auprès de la population drummondvilloise, un bon nombre d’artistes d’origine drummondvilloise, par l’organisation d’activités : « Magnifique dimanche après-midi à se laisser bercer le coeur par de la grande musique et la virtuosité de 2 artistes extraordinaires ! »
Gilles Beaudoin, impliqué depuis 30 ans dans la Symphonie de Drummondville, président de cette institution drummondvilloise pendant une quinzaine d’années, bénévole pour la musique en para-scolaire Deschênes longtemps, répondant depuis 7 ans pour la captation des messes et des concerts des Amis de l’Orgue à la Basilique pour NousTV-Cogéco : « Quel concert ! Quelle prestation ! Nous avons passé un après-midi exceptionnel. Quel beau duo ! Merci de partager votre passion. Bravo à M. Beaudry également. Vous étiez très beaux à voir et à entendre dans cet endroit exceptionnel. Il faut entendre les nuances et quand tu accompagnes un soliste tu as une manière extraordinaire de contrôler le juste niveau de volume pour donner la juste place au soliste. Anne-Marie, tu as été extraordinaire du début à la fin. Il est rare d’entendre et de profiter d’une telle qualité musicale. Vous nous avez vraiment comblés. Bravo! Félicitations! »
L’ajout des 10 panneaux de larges planches de bois plein embouvetées de 8 pieds de haut de la salle en demi-cercle continu, au fond de la scène et de chaque côté de celle-ci, a comblé de nombreux auditeurs au concert. Voici quelques impressions :
M.Gilles Beaudoin était au bord de l’allée centrale, du côté cour, dans la 5e rangée, il déclare : « J’ai grandement apprécié la sonorité. La salle est tellement grande que les panneaux ont sûrement exercé positivement une concentration agréable en évitant des retours d’écho. »
Denise Joyal, qui va souvent aux concerts de l’OSD dans cette même salle, étant dans la première rangée, a dit : « le son était grandement amélioré, par rapport à avant. On avait aussi une impression de concentration du son. »
Roger Dubois, le propriétaire de la salle, s’est dit très satisfait. Il était assis dans la 7e rangée, du côté jardin. Il déclare : « On entendait très bien. »
Normand Savard, époux de la pianiste, ayant étudié le violon et le piano, sur 7 années, ancien organisateur de concerts pour la Polytechnique de Montréal, qui était dans la 8e rangée, à l’extrémité du côté cour, a émis une certaine réserve, toutefois : « On entendait tout bien, mais je verrais qu’il y ait une sonorisation, pour qu’on entende les sons un peu plus fort. »
Julien Proulx, directeur artistique de l’Orchestre symphonique de Drummondville, est venu entendre l’acoustique des récentes installations à la salle Canimex du Complexe Swift réalisées par Anne-Marie Dubois, et une équipe de Canimex dirigée par Donald Martimbeault, directeur du Complexe Swift, vendredi le 18 octobre dernier, au lendemain du concert de l’OSD. Il dit que, maintenant, le son est vraiment meilleur qu’avant. Après vérification sur toute la surface pour le public utilisé pour leur concert, il déclare : « On entend partout très bien. » Il se réjouit également de l’apport du piano Yamaha de 9 pieds à la salle Canimex, et il est bien d’accord pour dire que le Yamaha est plus sonore que le Pétrof. Les installations actuelles ont un très beau son pour les concerts en musique de chambre de l’OSD. La démonstration a commencé en présence de Julien Proulx et du commissaire de la Ligue de Hockey junior majeur du Québec Mario Caccetti, de Roger Dubois, et d’un nombre d’invités de M. Dubois.
Voici la nouvelle vidéo d’Anne-Marie Dubois, soit une pièce musicale comme une grand odyssée. C’est la Sonate en un mouvement de Clermont Pépin (1949). La pianiste drummondvilloise l’a d’abord entendu comme pièce imposée à l’épreuve finale du Concours international de Montréal, quelque part entre avril et juillet 1984, puis se l’est appropriée pour la jouer en concert le 20 septembre 1984, devant le compositeur lui-même, à la Maison de la culture Côte-des-Neiges, à Montréal. Ce professeur du Conservatoire de Montréal en a été si enthousiaste qu’il l’a emmené ainsi que son mari dans un bon restaurant de Montréal et lui a offert Le Livre du Bonheur d’Anne Auclair. Elle l’a redonné en concert le 7 avril dernier, dans son concert « Musique canadienne », pour les Concerts Couperin à Québec, qui a reçu une revue enthousiaste par le journal Chronicle Telegraph : « Her powerful performance of the above selections was very impressive, all played completely from memory. » Ce concert lui a par ailleurs valu un projet avec les Violons du Roy. Voici donc cette nouvelle vidéo :
Ce concert lui a par ailleurs valu un projet avec les Violons du Roy. Voici donc cette nouvelle vidéo