DRUMMONDVILLE
Les principales accusations touchaient des gestes à caractères sexuels sur un mineur âgé de moins de 16 ans.
L’équipe d’enquêtes sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec avait procédé à l’arrestation et à la perquisition au domicile de William-James Ménard le 21 novembre 2017 à Drummondville
Sentences d’emprisonnement
C’est donc 21 mois de prison au total qui a été imposé à Ménard: 12 mois pour les dossiers de pornographie juvénile; 3 mois pour les contacts sexuels ainsi que deux sentences de 3 mois pour les bris de condition découlant d’accusations portées à La Tuque.
En effet, en plus des différents chefs d’accusation à caractères sexuels découlant de son arrestation en novembre 2017, Ménard avait été arrêté de nouveau en possession de matériel informatique et avait été arrêté à nouveau le 20 septembre en lien avec ces dossiers à caractères sexuels pour différents bris de condition alors qu’il était en possession de matériel informatique et, avoir fait usage de faux documents, alors qu’il avait produit un faux document prétendant avoir été exonéré des agressions sexuelles.
Ménard purgera donc un total de 17 mois d’emprisonnement, puisque le juge a tenu compte du temps d’incarcération et de la thérapie qui ont effectués par l’accusé. Le juge a donc soustrait 4 mois à la peine totale imposée.
L’ordonnance de non publication a été émise au dossier afin de protéger la victime.
William-James Ménard a ainsi pris le chemin des cellules pour les 17 prochains mois.