UMANA, une entreprise drummondvilloise fait preuve d’une grande générosité en offrant 600 masques au personnel du Collège Saint-Bernard

UMANA, une entreprise drummondvilloise fait preuve d’une grande générosité en offrant 600 masques au personnel du Collège Saint-Bernard
© Photo Éric Beaupré Vingt55. Tous droits réservés.

DRUMMONDVILLE

Le collège Saint-Bernard pourra prévenir la transmission de la Covid-19 des élèves et du personnel enseignant du collège grâce, entre autres, au coup de pouce et soutien de l’entreprise Drummondvilloise Umana.

 

UMANA, une entreprise drummondvilloise fait preuve d’une grande générosité en offrant 600 masques au personnel du Collège Saint-Bernard

En effet l’entreprise Umana, de Drummondville spécialisée dans la fabrication de produits de textiles pour nouveau-nés, qui a remis 600 masques pour les membres du personnel du CSB, dont une partie sera de retour en classe dès le lundi 11 mai.

«Nous sommes heureux de recevoir le soutien d’une entreprise de chez nous, c’est dans notre ADN d’être présents dans la communauté et de nous entraider»,  a déclaré Dominic Guévin, directeur général. 

Suite à la parution d’un article de la Presse + au sujet d’Umana, qui a décidé de faire face à la pandémie en produisant maintenant des masques, un employé du CSB est entré en contact avec Mme Marie-Ève Caron, propriétaire d’Umana. C’est à ce moment que cette dernière a rapidement offert l’aide de son entreprise.

«Pour Umana, il est important d’être impliqué et d’être engagé afin de faire face collectivement  à cette crise.  Notre expertise doit être mise à contribution», mentionne Marie-Ève Caron, propriétaire d’Umana.  

Bien que le port du masque ne soit pas exigé par le ministère de l’Éducation pour les élèves et le personnel enseignant du préscolaire primaire qui fera son entrée à compter du 11 mai, nous avons pris la décision d’encourager fortement le port de celui-ci.

«Notre équipe pédagogique travaille très fort à élaborer le plan de retour en classe, toutefois, il ne faut pas se leurrer, nous aurons à aimer, encadrer et superviser des enfants de 5 à 12 ans dans une toute nouvelle réalité»,   affirme Isabelle Langevin, directrice pédagogique. 

Même si toutes les mesures sanitaires et les précautions de distanciation  sont mises en place, nous considérons que le port du masque est un moyen supplémentaire de se protéger mutuellement.

Éric Beaupré
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