William Trottier, candidat du Parti populaire du Canada à Drummond, présente sa vision pour la santé

William Trottier, candidat du Parti populaire du Canada à Drummond, présente sa vision pour la santé
William Trottier, candidat du Parti populaire du Canada à Drummond @ Tous droits réservés.

DRUMMONDVILLE

Le Parti populaire du Canada (PPC) veut apporter une nouvelle alternative à la démocratie pour pouvoir refléter la réalité de la population qui désire adresser des solutions efficaces et efficientes à ses besoins.

Même s’il ne bénéficie pas de l’appui des institutions en place, pour des raisons jugées anti-démocratiques selon le candidat.

‘’Le PPC gagne du terrain auprès d’une population de plus en plus en rupture de confiance envers les partis politiques traditionnels. Grâce à sa capacité à diagnostiquer les pathologies sociétales, à poser un pronostic clair et à proposer des traitements adaptés s’attaquant à la source de nombreux maux qui nuisent à la prospérité holistique de notre société, le PPC se démarque. Contrairement aux autres formations politiques, qui ont selon lui démontré leur inaptitude à régler adéquatement les problèmes, voire à les empirer, le candidat du Parti populaire du Canada à Drummond affirme qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Et il se dit prêt à agir.

Le candidat s’est vu refuser la participation aux débats publics organisés par la CCID.

À cet égard, les règles en place au sein de nos institutions, jugées sévères, refusent de permettre au chef du PPC, tout comme à la CCID pour le candidat du PPC de Drummond, de participer aux débats publics. Une décision perçue comme une volonté d’empêcher la population d’entendre des propositions jugées judicieuses et des explications rationnelles.

Malgré cette exclusion de la place publique, le PPC poursuit sa mission : éduquer la population à une nouvelle manière de voir et de faire de la politique, afin de la rassembler derrière le seul parti qu’il considère apte à relever les défis sociaux et mondiaux actuels, pour assurer la pérennité du pays en collaboration avec toutes les provinces.

Comment le PPC entend améliorer la situation à Drummond?

Par 19 mesures précises, que l’on peut consulter en détail sur la plateforme Web du Parti populaire du Canada.

Dans ce communiqué, William Trottier souhaite aborder plus spécifiquement la question de la santé, un enjeu central pour Drummondville comme pour l’ensemble du Québec.

Pour le Parti populaire du Canada, le temps est venu d’adopter des réformes inspirées de systèmes universels mixtes, tels qu’ils existent dans d’autres pays développés – des systèmes reconnus pour leur efficacité et leur rentabilité. Selon le PPC, injecter encore davantage d’argent fédéral dans le système, comme le proposent les autres partis, constitue une erreur. Au contraire, cette approche perpétue les problèmes actuels.

À ses yeux, les gouvernements provinciaux ne prendront jamais les décisions difficiles tant qu’ils pourront reprocher à Ottawa de ne pas envoyer suffisamment d’argent. Il faut donc mettre fin à la confusion actuelle sur les responsabilités dans le domaine de la santé. Et au fond, n’est-ce pas cela, la souveraineté?

Les engagements d’un gouvernement du Parti populaire :

Abroger la Loi canadienne sur la santé et créer les conditions pour permettre aux provinces et territoires de mettre en place des systèmes universels mixtes public-privé, à l’image des autres pays développés. Ils deviendraient alors entièrement responsables du financement et de la gestion des soins de santé, et devraient rendre des comptes à leurs citoyens. Pendant ce temps, Ottawa respecterait la Constitution et mettrait fin à ses intrusions.

Remplacer les paiements de transfert en matière de santé par un transfert permanent de points d’impôt d’une valeur équivalente, afin de garantir aux provinces et territoires une source de revenus stable. Concrètement, Ottawa abandonnerait la taxe sur les produits et services (TPS) au profit des gouvernements provinciaux et territoriaux. En 2024-2025, cette taxe devrait générer environ 52 milliards de dollars – soit l’équivalent des transferts fédéraux en santé prévus pour cette période.

Instaurer un programme temporaire d’indemnisation pour les provinces les plus pauvres, dont les revenus issus de ces nouveaux points d’impôt seraient inférieurs aux montants qu’elles recevaient auparavant en transferts de santé.

Choisir le PPC, conclut William Trottier, « c’est assurer la souveraineté de notre province et de notre pays pour notre monde ».

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Éric Beaupré
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