Maxime Alie a reconnu sa culpabilité devant le tribunal pour des agressions sexuelles commises entre le 1er septembre 2017 et le 28 février 2018 à Saint-Bonaventure. L’accusé a admis avoir posé des gestes de contact et incité à des contacts à caractère sexuel sur une enfant mineure âgée de moins de 16 ans au moment des faits.

La plaignante dans ce dossier est protégée par un interdit de publication afin de préserver son anonymat, comme le prévoit la loi dans les cas d’agressions sexuelles impliquant des mineurs. La cour a pris en considération les preuves recueillies par les enquêteurs de la Sûreté du Québec de la MRC de Drummondville et déposées par la procureure de la Couronne, Me Cassandre Hamel.

L’honorable juge Marie-Josée Ménard s’est rangée à la suggestion commune présentée par la procureure de la Couronne et la défense lors des représentations sur la peine.

Maxime Alie a été condamné à une peine d’emprisonnement par l’honorable juge Marie-Josée Ménard. Son plaidoyer de culpabilité a permis d’éviter un procès, ce qui a été considéré comme un facteur atténuant dans l’imposition de la sentence. La peine était une recommandation commune des deux parties, soit Me Frédérique Roy, avocate de la défense, et Me Cassandre Hamel, procureure de la Couronne.

En plus de la peine d’emprisonnement de 12 mois, Maxime Alie devra respecter une probation de deux ans à sa sortie. Il lui sera interdit d’avoir tout contact avec la plaignante et il devra suivre une thérapie à caractère sexologique. Maxime Alie a quitté le palais de justice menotté, escorté par les constables spéciaux du palais et les policiers de la Sûreté du Québec.