DRUMMONDVILLE
Malgré que la plupart des FSI impliqués prennent le processus au sérieux et ont accéléré leurs demandes d’accès aux infrastructures, plusieurs rencontrent des défis importants qui pourraient avoir des répercussions sur la livraison du projet. En date d’aujourd’hui, à un an de la date butoir du 30 septembre 2022, de nombreux FSI sont loin d’avoir atteint le rythme nécessaire pour les demandes d’accès. En fait, Bell a reçu à peine la moitié des demandes exigées jusqu’ici dans les ententes signées avec le gouvernement du Québec. Bien que la cadence s’améliore depuis peu, un retard très difficile à reprendre a déjà été accumulé au cours des cinq premiers mois de l’opération.
Bell tient le gouvernement informé des progrès des demandes d’accès aux infrastructures de façon hebdomadaire et offre une collaboration de tous les instants pour encadrer les FSI qui éprouvent un retard.
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« Nous remercions les fournisseurs de services Internet qui travaillent déjà à réaliser le chantier de l’Opération haute vitesse. Le processus coordonné d’octroi des permis d’accès aux infrastructures fonctionne très bien, mais la cadence de demande de permis n’est pas au rendez-vous, a déclaré Karine Moses, présidente, direction du Québec, Bell. L’échéancier serré prévu aux ententes pour le déploiement complet de l’Internet haute vitesse entraîne des défis de taille, aggravés par une pénurie de main-d’œuvre spécialisée, comme les planteurs de poteaux et autres professionnels qualifiés au cœur des travaux d’infrastructure nécessaires, en plus des conséquences de la crise de la COVID-19 sur la chaîne d’approvisionnement. Cela ne fait que souligner davantage la nécessité pour les FSI impliqués de respecter la cadence exigée, sans quoi nous risquons d’être collectivement confrontés à la perspective malheureuse de voir l’échéance de l’Opération haute vitesse repoussée significativement. »
L’Opération haute vitesse repose sur un investissement sans précédent qui vise à offrir des connexions Internet large bande aux résidents et aux entreprises partout au Québec, à laquelle participent les gouvernements du Québec et du Canada, des FSI de toute taille, des propriétaires d’infrastructure comme Bell, Hydro-Québec et TELUS, des travailleurs qualifiés à l’échelle de la province ainsi que de nombreux fournisseurs de services et d’équipement.