Bilan meurtriers sur les routes : 116 décès sur les routes du Québec entre la Saint Jean-Baptiste et la fête du Travail

DRUMMONDVILLE

Si la fête nationale inaugure le début officiel de la saison estivale, elle marque aussi le début d’une période extrêmement sombre avec 116 décès dénombré dans les collisions mortelles, entre la Saint Jean-Baptiste et la fête du Travail sur les routes du Québec.

Les 116 décès dénombré dans les collisions mortelles, entre la Saint Jean-Baptiste et la fête du Travail représentent près du tiers des décès d’une année complète.

Si la fête nationale inaugure le début officiel de la saison estivale, elle marque aussi le début d’une période extrêmement sombre sur les routes du Québec cette année.

Encore une fois, les 75 jours les plus meurtriers de l’année portent tristement bien leur nom. Si la fête nationale inaugure le début officiel de la saison estivale, elle marque aussi le début d’une période extrêmement sombre sur les routes du Québec.

Les 116 décès dénombré dans les collisions mortelles, entre la Saint-Jean-Baptiste et la fête du Travail représente près du tiers des décès d’une année complète, encore une fois, les 75 jours les plus meurtriers de l’année portent tristement bien leur nom.

C’est aussi durant cette période que six régions de la province ont connu leurs pires moments au bilan des décès sur la route.

Drummondville et le Centre du Québec n’échappent pas à ce triste bilan, la SAAQ que les chiffres sont particulièrement frappant pour la Gaspésie–Iles-de-la-Madeleine avec 6 décès, soit 67% du total annuel, la Mauricie, 12 décès, 60%, le Saguenay–Lac-Saint-Jean, 10 décès, 42%, la Côte-Nord, 6 décès, 40%, Chaudière-Appalaches, 8 décès, 38% et les Laurentides, 18 décès, 38%.

Les distractions, la fatigue, les facultés affaiblies et la vitesse sont encore les causes 80% des causes de décès sur les routes.

La SAAQ rappelle que 80% des accidents mortels se produisent en raison de comportements humains fautifs, comme les distractions, la fatigue, les facultés affaiblies et la vitesse. D’ailleurs, ces facteurs demeurent, chaque année, les principales causes des décès sur les routes.