Elle a su conquérir des publics de grandes salles comme le Polythéâtre de Pékin, la salle Wilfrid-Pelletier et la Maison symphonique de Montréal, la salle Weill du Carnegie Hall de New York, le Grand Théâtre de Québec. Son jeu est chaleureux et dénote une grande sensibilité. Adrian Corleonis du magazine américain Fanfare, est enthousiaste : « Anne-Marie Dubois offre une heure irrésistible de la poésie la plus envoûtante répandue en une combinaison constante de sonorités et de couleurs, de fraîcheur et de lyrisme, d’éclat et de ravissement. »

Le répertoire de son concert saura illustrer à merveille la vie de celui que l’Église catholique nous présente comme étant le dernier prophète annonçant la venue du Sauveur du monde. La pianiste spirituelle témoigne des cadeaux pour chaque personne semés par la vie de Jean le Baptiste, avec le mystérieux Benedictus de la Messe du Couronnement de Liszt, la rencontre spéciale de sa mère Élisabeth et Marie, avec 3 Ave Maria, dont le sublime Ave Maria de Schubert-Liszt, jusqu’à la danse de Salomé qui étourdit Hérode, et finira par lui faire servir la tête de Jean-le-Baptiste sur un plateau à Salomé, avec la Danse rituelle du feu de Falla, pour terminer avec la Farandole de Bizet inspirée par un autre Jean-Baptiste, Lully, celui-là.

On peut retrouver la pianiste Anne-Marie Dubois sur la chaîne amduboispianiste. De plus, un document spécial, tourné à la Petite Chapelle St-Gérard de Saint-Félix-de-Kingsey et complété par d’excellentes présentations de l’équipe d’ECDQ.tv dites par l’évêque auxiliaire de Québec Marc Pelchat à la basilique-cathédrale de Québec, permet de prier pour de nombreuses situations difficiles actuelles dans notre monde. Il s’intitule : « Liszt et Marie : concert-prière ». Ce document est sur KTO-TV, ECDQ.tv et You Tube (par le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, entre autres), actuellement.

Outre ses indéniables qualités pianistiques, ce qui distingue cependant Anne-Marie Dubois, c’est cette ardente spiritualité qui se dégage naturellement de son jeu, une spiritualité qui produit une vive et touchante impression sur les auditeurs qui en sont les témoins privilégiés. Le journaliste Paul Ingram, de la revue Fanfare, osait même affirmer que les interprétations de la pianiste « devraient convaincre quiconque de l’existence, quelque part, d’un monde meilleur » L’invitation est lancée !