Le Festival de Films Indépendants de Drummondville revient en force pour une 3e édition

Le Festival de Films Indépendants de Drummondville revient en force pour une 3e édition
Le Festival de Films Indépendants de Drummondville revient en force pour une 3e édition @ Crédit photo archive Eric Beaupré / Vingt55 Tous droits réservés.

DRUMMONDVILLE

Le Festival de Films Indépendants de Drummondville (FFID) présentera sa troisième édition les 21, 22 et 23 mai prochains au Cinéma Capitol. Fidèle à sa mission de démocratiser l’art cinématographique et de valoriser le court-métrage indépendant, le FFID promet une programmation éclatée et accessible, dans une ambiance conviviale et engagée.

C’est avec fierté que le Vingt55 s’implique à nouveau cette année afin de promouvoir l’un des événements et tapis rouge qui célèbre le 7e art. L’édition de cette année s’annonce des plus captivantes et promet un véritable rendez-vous avec le cinéma, à ne pas manquer. Artistes et talents du milieu cinématographique seront au rendez-vous pour une édition bien remplie, marquée par un tapis rouge qui saura assurément plaire à tous les publics.

Porté par l’organisme à but non lucratif Ciné Films RGFM, le festival s’inscrit dans une volonté de faire rayonner le 7e art au cœur de la communauté drummondvilloise. « C’est dans un esprit de développement culturel, local et durable que le FFID participe à la vitalité artistique de notre communauté », affirme Annie Hamel, directrice du festival.

Trois soirées, trois ambiances cinématographiques

Cette édition 2025 sera ponctuée de trois événements majeurs :

Mercredi 21 mai – Soirée d’ouverture Par-Court
Présentée en collaboration avec le Festival Plein(s) Écran(s), la soirée propose une sélection de courts métrages dont plusieurs ont été pré-sélectionnés aux Oscars. Le film régional « Tant qu’il y aura des fleurs » d’Élisabeth Marcoux sera également à l’affiche, aux côtés de :

  • Oasis de Justine Martin

  • Madeleine de Raquel Sancinetti

  • Un trou dans la poitrine de Jean-Sébastien Hamel et Alexandra Myotte

  • Chat mort de Danick Audet et Annie-Claude Caron

Ariane Roy-Poirier, directrice artistique de Plein(s) Écran(s), se réjouit : « Drummondville, ville dynamique où la culture occupe une place de choix, est un arrêt incontournable pour notre Par-Court. »

Entrée gratuite – billets disponibles sur place le soir même.

Jeudi 22 mai – Soirée Tapis rouge et rencontre avec les artistes
Dès 18h30, le tapis rouge accueillera les festivaliers, suivis de la projection dès 19h00 et d’une période de questions/réponses à 20h45. Au programme :

  • Petit Pas de Jimmy G. Pettigrew

  • Aimé de Fanny Mallette

  • Tout ce qui gronde d’Ève Saint-Louis

  • Anastasia de Timur Aslaev

  • L’erreur de Bassem Ramadan

  • Les Patins de Halima Ouardiri

Geneviève Biron, du comité organisateur, souligne : « Nous sommes choyés de la présence de réalisateurs et comédiens qui viendront à la rencontre du public pour discuter de leur travail. »

Billets au coût de 10 $ : Lien pour achat.
Une partie des profits sera remise aux réalisateurs.

Vendredi 23 mai – Soirée de clôture avec Monk-E

L’artiste multidisciplinaire Monk-E, accompagné de l’Astred Collective, clôturera le festival avec une soirée immersive mêlant cinéma, art visuel et poésie.

Au programme :

  • 18h30 : Tapis rouge et performance de peinture en direct

  • 19h00 : Projection du court métrage Ensemble, suivie de Retour au bercail, en présence des co-réalisateurs

  • 20h30 : Deuxième représentation

  • 22h00 : Slam et poésie improvisée avec la participation du public

  • 22h30 : Clôture et moment de socialisation

Entrée gratuite – billets disponibles à la billetterie du Cinéma Capitol le soir même.

Une communauté mobilisée autour du 7e art

L’événement ne pourrait exister sans l’implication de nombreux bénévoles et la collaboration de partenaires essentiels, dont Plein(s) Écran(s), Monk-E, Paparmane, RGFM, Cinéma Capitol, B4-Biron Communications, Planète Bleue Environnement, Le Hangar et Champ Nord.

Le FFID s’impose comme un rendez-vous incontournable pour les cinéphiles de la région et au-delà, affirmant la place grandissante de Drummondville dans le paysage culturel québécois.

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Éric Beaupré
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