La candidature de M. Martel, actuellement seul en lice, sera confirmée le 3 mai prochain par les membres de l’association locale de Québec solidaire dans Drummond-Bois-Francs.

Natif de la Ville de Québec, M. Martel a effectué une formation de certificat universitaire en perfectionnement en enseignement collégial. Il a notamment enseigné au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu et à l’Académie des Arts et du Design, en plus d’avoir travaillé au sein de plusieurs firmes d’architectes.

M. Martel est actuellement responsable du développement des affaires au Québec et l’est de l’Ontario pour Nexxfield, une entreprise montréalaise spécialisée dans le domaine des sports et loisirs. Cette fonction l’amène à travailler auprès de plusieurs centres de services scolaires et municipalités québécoises, notamment dans le cadre d’appels d’offres publics.

Une expérience qui lui a permis d’observer plusieurs lacunes et manquements dans ce processus, aussi bien pour les travailleurs que pour les citoyens. Un enjeu qu’il compte aborder de front à titre de candidat pour Québec solidaire, parmi d’autres chevaux de bataille. « Il est irresponsable, via le projet de loi 66, de placer quelque 180 projets d’infrastructures sur la voie rapide au détriment du processus essentiel d’évaluation des impacts sur l’environnement, mais aussi au détriment de la réglementation municipale, avance le candidat. Cela aura pour effet de gonfler les montants prévus dans les enveloppes budgétaires pour ces projets. »

 « On a plus que jamais besoin d’un gouvernement qui est redevable des décisions qu’il prend, renchérit M. Martel. En ce moment, c’est le ‘Free for all’ et on a un gouvernement qui semble penser qu’il n’y a aucun prix politique à payer pour les décisions qu’il prend et d’avoir tourné les coins ronds.»

En plus de proposer un plan clair et réaliste pour la réalisation des projets d’infrastructures publiques, Tony Martel s’engage à faire de la santé et de l’environnement les fers de lance de son engagement politique.