Vidéo d’annonce : Plein(s) Écran(s) signe son grand retour en salle à Drummondville !

Il y a quelques semaines Plein(s) Écran(s) était fier d’annoncer l’arrivée de Catherine Brunet en tant que porte-parole de la 7ème édition du festival. Déjà engagée l’an dernier en tant que membre du jury, la célèbre et jeune actrice qui est en ce moment à l’affiche du film 23 décembre, aura cette fois-ci pour mission d’incarner le festival. Elle partagera ainsi avec le public ses coups de cœur et sa passion pour le court. Catherine présentera notamment ses 5 films préférés de la dernière édition au cinéma Le Capitol de Drummondville le 13 janvier prochain.

Une soirée dédiée au court métrage avec une programmation exceptionnelle

Le cinéma Capitol de Drummondville et Plein(s) Écran(s) s’unissent pour proposer aux spectateurs une soirée exceptionnelle célébrant le meilleur du court métrage québécois. En plus de découvrir 5 courts métrages uniques, les spectateur.trice.s pourront aussi assister à une conversation privilégiée entre Catherine Brunet et un.e invité.e surprise. L’objectif ? rendre le court métrage accessible en dehors des grandes villes.

Une programmation à ne pas manquer et surtout à découvrir 

Y’a pas d’heures pour les femmes de Sarra El Abed, où des femmes se retrouvent à l’aube d’élections présidentielles dans un salon de coiffure à Tunis. Un huis clos féminin qui met un coup de projecteur sur l’adolescence démocratique du pays.

Catcalls de Anna Berezowsky et Laura Stewart, une exploration du harcèlement de rue à travers des phrases dites par des humains qui sont représentés ici par des marionnettes de chiens et de chats.

Les grandes claques d’Annie St-Pierre, ce film réunit père et fille à Noël dans un coming of age aussi grinçant que poétique avec une performance inoubliable de Steve Laplante.

Tranche de nuit de Romain F. Dubois et Maxime Genois, dans lequel Pierre, démoralisé par son train-train abrutissant, décide de troquer la sueur de l’usine pour la clim de l’hôtel. Un ovni avec un casting des plus impressionnants.

Love-moi, de Romane Garant Chartrand, dont la protagoniste Laëtitia, à l’aube de ses dix-sept ans, navigue entre son trouble de l’attachement et son besoin flagrant d’amour. Dans un monde où le contrôle sur l’image est absolu, ce film raconte la quête du grand A, à travers les diverses formes de représentation de soi.

Les billets sont accessibles à tous.tes ici : https://urlz.fr/jZri