Ce sont les pompiers qui sont intervenus les premiers dans la garderie à titre de premiers répondants afin de pratiquer les manœuvres de réanimation sur le poupon de 4 mois, tandis que les paramédicaux étaient en route. Ceux-ci ont poursuivi les manœuvres et ont transporté l’enfant en arrêt cardiorespiratoire vers le centre hospitalier devant les intervenants impuissants.

La famille et la mère de famille sont sous le choc et consternés

La maman du petit Elliot est dévastée. « Elliot a 4 mois, il lui manquait seulement 8 jours et il aurait eu 5 mois », a exprimé la maman. « C’est vraiment horrible de perdre notre bébé sourire et notre rayon de soleil, qui est décédé à la garderie dans des circonstances que nous ne pouvons nous expliquer pour le moment », a précisé la maman.

« Nous sommes toujours dans l’attente des résultats de l’enquête, nous n’en savons pas plus », a exprimé Katy Poudrier, la mère drummondvilloise, en entrevue au Vingt55.

L’aide s’organise pour soutenir la maman du petit Elliot

Afin de soutenir la famille dans cette difficile épreuve, une campagne de soutien a été mise sur pied par Stéphanie Gamache, une proche de la maman. ) »L’aide a pour but d’aider Katy et sa famille à passer à travers cette épreuve. Nous espérons qu’avec ce geste, nous pourrons les soutenir et leur retirer un peu de tracas » précise Mme Gamache

« Pour ceux et celles qui désirent venir voir une dernière fois notre petit bébé sourire, rayon de soleil et petit ange, Elliot sera exposé au salon JN Donais situé sur le Boul Lemire à Drummondville », a fait savoir la maman d’origine drummondvilloise, qui souhaite ainsi permettre à ses proches et à sa famille de se recueillir.

Une enquête de la Sûreté du Québec écarte tout geste criminel. « L’enquête sur les circonstances entourant le décès est toujours en cours », a précisé la porte-parole de la Sûreté du Québec. L’enquête de la Sûreté du Québec est menée en collaboration avec le coroner et une autopsie sera également pratiquée pour tenter de faire la lumière sur les circonstances tragiques de ce décès, comme l’exige la loi du coroner.