DRUMMONDVILLE
La grande mobilisation démontrée par les 550 participants qui ont pris part à cet événement incontournable pour le secteur a permis d’aborder les enjeux d’avenir et de se pencher sur les grandes orientations de la prochaine politique bioalimentaire.
Ce rassemblement des forces vives du secteur offre une vision claire des défis auxquels le secteur fait face et esquisse des pistes communes pour les relever. Les sujets traités ont notamment mis en lumière l’importance de l’innovation et du dialogue au sein du secteur pour bâtir l’avenir du bioalimentaire. Les témoignages d’entrepreneurs et d’experts ont démontré la nécessité d’être agile pour accroître la capacité d’adaptation aux changements.
Comme l’a constaté le Vingt55 sur place, les sujets traités ont notamment mis en lumière l’importance de l’innovation et du dialogue au sein du secteur pour bâtir l’avenir du bioalimentaire.
Les témoignages d’entrepreneurs et d’experts ont démontré la nécessité d’être agile pour accroître la capacité d’adaptation aux changements. Plusieurs intervenants sont venus rappeler les réels enjeux d’aujourd’hui et de demain. Durant les périodes de questions, les invités ont pris le temps de répondre et d’assurer des suivis sur les interrogations des participants.
Les échanges de la journée et les constats des consultations tenues depuis janvier constitueront une base solide pour la prochaine politique prévue pour 2025
« Cette journée a mis de l’avant l’ouverture, la capacité d’innovation et le savoir-faire des entrepreneurs pour assurer la pérennité et la compétitivité du secteur bioalimentaire », a mentionné le ministre André Lamontagne, en clôture de l’événement. « au cours de la prochaine année, nous utiliserons nos expériences, nos connaissances et notre intelligence collective pour élaborer, ensemble, une nouvelle politique qui permettra à nos entrepreneurs de poursuivre au-delà de 2025 ce en quoi ils sont les champions : nourrir les Québécois et les Québécoises », a ajouté le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec.
« Tant sur le plan d’une offre alimentaire améliorée, de la main-d’œuvre, de la productivité que sur tous les aspects des pratiques d’affaires responsables et durables, le CTAQ appuie activement les membres de l’industrie de la transformation alimentaire en catalysant l’intelligence collective de l’écosystème unifié pour stimuler la croissance durable, prospère et compétitive », a mentionné Sylvie Cloutier, présidente-directrice générale du Conseil de la transformation alimentaire du Québec. « C’est avec une grande fierté et beaucoup d’ambition que nous envisageons la collaboration pour la mise en place de la prochaine politique bioalimentaire. »
« Avec l’apport de la Politique bioalimentaire du Québec, notre industrie de la pêche connaît un essor sans précédent, autant sur le marché québécois que sur le marché extérieur. Nous croyons que l’équilibre entre ces deux marchés concurrentiels vient en quelque sorte démontrer la reconnaissance générale de la qualité de nos produits et mettre la table pour l’avenir de notre politique bioalimentaire », a ajouté Jean-Paul Gagné, directeur général de l’Association québécoise de l’industrie de la pêche.
« À titre de plus grande coopérative laitière de la province, Agropur entend poursuivre son implication avec le gouvernement et l’industrie laitière pour favoriser le rayonnement du Québec dans l’environnement canadien », a mentionné pour sa part Roger Massicotte, président d’Agropur. « La prochaine politique bioalimentaire a la capacité de rassembler tous les acteurs du milieu autour de l’objectif d’assurer la compétitivité, la croissance et la pérennité du secteur agroalimentaire québécois. Elle atteindra ses objectifs en reconnaissant le rôle fondamental de l’industrie laitière dans le développement économique et social de la province. »
« L’attention de la population est tournée vers la réalité des producteurs et leur rôle crucial pour la société, ici comme ailleurs », a rappelé Richard Ferland, président de Sollio Groupe Coopératif. « Cela met la table pour la future politique bioalimentaire. Le forum d’aujourd’hui, qui réunit tous les acteurs du secteur, est propice à une bonne réflexion sur ce que nous souhaitons pour l’avenir. »
« Le Groupe Export est pleinement engagé dans l’atteinte des objectifs d’exportation de la Politique bioalimentaire, qui sont devenus les nôtres », a affirmé Martin Lavoie, président-directeur général du Groupe Export agroalimentaire Québec-Canada. « Les partenaires avec qui nous échangeons et collaborons dans le cadre de la Politique sont mobilisés vers l’atteinte des autres objectifs. La somme des efforts et des réalisations individuels des partenaires en fait un succès collectif coordonné et puissant. »