Agression sexuelle sur un enfant à Drummondville : Juan David Reina Rojas condamné à purger une peine d’emprisonnement

Agression sexuelle sur un enfant à Drummondville : Juan David Reina Rojas condamné à purger une peine d’emprisonnement
Agression sexuelle sur un enfant à Drummondville, Juan David Reina Rojas prend le chemin de la prison @ Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55 Tous droits réservés

DRUMMONDVILLE

L’accusé Juan David Reina Rojas, aujourd’hui âgé de 24 ans, a reconnu sa culpabilité pour une accusation d’agression sexuelle sur un enfant de moins de 16 ans. Il a été condamné à purger une peine d’emprisonnement de deux ans moins vingt-cinq jours.

Agression sexuelle sur un enfant à Drummondville, Juan David Reina Rojas prend le chemin de la prison @ Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55 Tous droits réservés.

Juan David Reina Rojas, résident de Drummondville, a été incarcéré après avoir écopé d’une peine d’emprisonnement de deux ans moins vingt-cinq jours, incluant le temps de détention préventive cumulé par l’agresseur sexuel.

En raison de la preuve présentée au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), Juan David Reina Rojas a choisi de plaider coupable pour l’accusation d’agression sexuelle sur un enfant qui était âgé de moins de 16 ans au moment des faits.

Selon les faits reprochés et retenus par le DPCP, l’agression sexuelle s’est produite le 7 juillet 2020. Lors de son passage au palais de justice de Drummondville, l’honorable juge Gilles Lafrenière a imposé à Juan David Reina Rojas une peine de deux ans moins vingt-cinq jours de prison, en plus d’une série de conditions à respecter.

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Après avoir entendu l’honorable juge Gilles Lafrenière lui imposer sa sentence, l’accusé a immédiatement été conduit aux cellules

Juan David Reina Rojas a immédiatement été conduit aux cellules escorté par les constables spéciaux du palais de justice de Drummondville. Ces derniers ont ensuite remis l’accusé aux policiers de la Sûreté du Québec (SQ), qui l’ont conduit à l’établissement carcéral où il devra purger sa peine.

Étant donné que les faits reprochés impliquent un enfant âgé de moins de 16 ans lors des agressions, le dossier a été frappé d’un interdit de divulgation. Cet interdit permet de préserver l’identité de l’adolescente présente, accompagnée d’une intervenante du CAVAC, lors de son passage devant le tribunal. De plus, un chien d’accompagnement de la Sûreté du Québec était également présent, ainsi que des proches de la victime, lorsque le juge a imposé la sentence de prison à son agresseur.

Outre sa peine de prison et l’interdiction de contacter la victime, Juan David Reina Rojas devra fournir un échantillon d’ADN et respecter une période de probation de deux ans à la fin de sa peine.

L’honorable juge Gilles Lafrenière a également informé l’accusé que son nom figurera pendant dix ans au Registre national des délinquants sexuels.

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Éric Beaupré
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