Environnement Centre-du-Québec : Richard Voyer s’associe au CRECQ pour la promotion du verdissement urbain

Environnement Centre-du-Québec : Richard Voyer s’associe au CRECQ pour la promotion du verdissement urbain
Mme Andréanne Blais, directrice générale du Conseil régional de l’environnement et M. Richard Voyer, vice-président exécutif et chef de la direction, SOPREMA Canada et international @ Crédit photo CRECQ Tous droits réservés.

DRUMMONDVILLE

Le Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec (CRECQ) est fier d’annoncer son partenariat avec M. Richard Voyer, vice-président exécutif et chef de la direction de SOPREMA Canada et international, qui agira à titre de porte-parole du projet Coup de fraîcheur – Verdissement ICI dans le but de promouvoir le verdissement pour les industries, commerces et institutions (ICI) privés du Centre-du-Québec.

M. Richard Voyer, vice-président exécutif et chef de la direction de SOPREMA Canada et international. @ Crédit photo archives Eric Beaupré / Vingt55. Tous droits réservés.

« Que ce soit pour lutter contre les îlots de chaleur ou assurer une meilleure qualité de vie à nos employés, chez SOPREMA nous connaissons depuis longtemps les bénéfices du verdissement. C’est donc tout naturel pour moi de m’associer au projet Coup de fraîcheur – Verdissement ICI du Conseil régional de l’environnement du Centre-du-Québec (CRECQ) et de mettre en œuvre, grâce à leur accompagnement, un projet d’envergure sur nos terrains situés dans le parc industriel de Drummondville », mentionne M. Richard Voyer, vice-président exécutif et chef de la direction de SOPREMA Canada et international.

Ce projet de lutte contre les changements climatiques, mis en place par le CRECQ, s’adresse donc à l’ensemble des industries, commerces et institutions privés de la région centricoise qui souhaitent obtenir un accompagnement gratuit pour entreprendre des travaux de verdissement à l’été 2024. De plus, il est à noter que 20% des coûts des travaux sont admissibles à une subvention, jusqu’à concurrence de 5000$.

« Les îlots de chaleur sont caractérisés par de vastes surfaces asphaltées, ce qui définit la vaste majorité des terrains occupés par les ICI », rappelle Mme Andréanne Blais, directrice générale du CRECQ. « En retirant certains espaces minéralisés, on peut alors créer des aires de biorétention pour la gestion des eaux pluviales, ou encore des zones de biodiversité, par la plantation d’arbres et d’arbustes. Ainsi, en créant des îlots de fraîcheur, on prévient davantage les risques sur la santé liée aux vagues de chaleurs accablantes, tout en améliorant considérablement l’espace de vie dédié à la clientèle et aux employés. »

© Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55. Tous droits réservés.

Éric Beaupré
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