Centres d’hébergement et de soins de longue durée – Un financement annuel de 20 M$ pour bonifier l’offre alimentaire

Centres d’hébergement et de soins de longue durée – Un financement annuel de 20 M$ pour bonifier l’offre alimentaire
© Crédit photo Eric Beaupré. Tous droits réservés.

DRUMMONDVILLE

 La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, annonce aujourd’hui qu’un financement récurrent annuel de 20 millions $ sera dès cette année octroyé aux centres d’hébergement et de soins de longue durée pour les aider à poursuivre l’amélioration de la qualité des repas servis aux personnes hébergées.

Cette initiative s’inscrit dans la continuité des efforts menés ces dernières années pour favoriser une diversité de mets qui correspondent aux besoins et aux préférences des usagers et soutenir les installations dans leur démarche d’amélioration de l’équipement nécessaire. L’objectif était d’assurer une offre de menus commune et équitable pour l’ensemble des CHSLD.

Ce financement supplémentaire vient donc poursuivre la démarche visant à rehausser la qualité des repas servis, notamment en soutenant l’ajout de ressources humaines, l’amélioration des denrées alimentaires, l’achat d’équipement et la formation du personnel. Ceci contribuera à favoriser la personnalisation de l’offre alimentaire et une meilleure expérience lors des repas.

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Depuis notre arrivée au gouvernement, nous avons intensifié les efforts afin que l’offre des repas des personnes hébergées soit bonifiée. Aujourd’hui, nous effectuons une nouvelle action, mais nous sommes conscients qu’il reste encore du chemin à faire. C’est pourquoi ce financement nous apparaît essentiel pour offrir la meilleure alimentation possible aux usagers, de manière cohérente avec nos efforts pour moderniser de manière substantielle et durable les services mis à la disposition des personnes en perte d’autonomie au Québec. » – Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants

En résumé :

Un minimum de 50 % de la somme accordée à chaque établissement du réseau devra être investi dans l’ajout de ressources humaines en ce qui a trait à la planification, à la préparation ou au service des repas, à l’évaluation ou à l’intervention concernant les besoins nutritionnels des résidents ainsi qu’au développement de recettes. Les autres dépenses concernent l’achat de denrées ou d’équipement et l’offre de formations.

Éric Beaupré
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