DRUMMONDVILLE
Jocelyne Desjardins, intervenante CALACS La Passerelle © Entrevue vidéo / Vingt55. Tous droits réservés.
Pour la journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes, les intervenantes du CALACS La Passerelle ont invité les citoyennes et les citoyens au Parc Saint-Frédéric afin de visionner Le consentement sexuel « On en parle ». L’occasion permettait également aux citoyennes et aux citoyens de tous les âges de venir à la rencontre des intervenantes présentes sur place.
Le rendez-vous a permis de mieux faire connaître l’organisme dévoué à lutter contre toute forme de violence sexuelle commise envers les femmes et les adolescentes, ainsi que les conséquences qui en découlent.
Que faire si je suis victime ?
Vous n’avez pas besoin de porter plainte pour faire appel à une intervenante du CALACS La Passerelle.
D’abord, rappelle-toi que tu n’es pas du tout responsable de ce qui t’est arrivé.
Tu as peut-être l’impression que plus rien ne fonctionne et tu te sens en colère et responsable. Toutes ces réactions sont possibles. C’est le fait de subir une agression sexuelle qui ne devrait pas être possible. Et tu n’es pas responsable d’avoir subi une agression à caractère sexuel. Le vrai responsable, c’est l’agresseur.
Parle à quelqu’un en qui tu as confiance, qui te croira et avec qui tu te sens bien. Cette personne peut être une amie, tes parents, une enseignante, une tante, un oncle, l’animatrice d’une maison des jeunes, une intervenante du CALACS.
Le CALACS peut t’aider
Rappelez-vous que vous n’avez pas besoin de porter plainte pour faire appel aux services du CALACS.
Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes à Drummondville © Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55. Tous droits réservés.