Le décès du réalisateur de «Bon Cop Bad Cop» Érik Canuel, plonge le cinéma québécois dans le deuil

Le décès du réalisateur de «Bon Cop Bad Cop» Érik Canuel, plonge le cinéma québécois dans le deuil
Le monde du cinéma québécois est en deuil après le décès du réalisateur Érik Canuel, survenu ce samedi 15 juin. © ous droits réservés

DRUMMONDVILLE

Le monde du cinéma québécois est en deuil après le décès du réalisateur Érik Canuel, survenu ce samedi 15 juin. Après avoir combattu avec un courage exceptionnel un myélome multiple pendant plus de sept ans, M. Canuel a été emporté par une leucémie à plasmocytes secondaire fulgurante, selon des sources proches de la famille.

Érik Canuel laisse dans le deuil sa conjointe et fidèle complice Julie, ses enfants Élodie, L’Ami.e et Justine, son frère Nicolas (Geneviève), ses neveux Elliott et Flavie, ainsi que sa mère Lucile.

La famille du cinéma québécois perd un cinéaste audacieux et passionné, dont les œuvres ont marqué le paysage cinématographique. Son talent immense et sa signature unique se retrouvent dans des films emblématiques tels que La Loi du Cochon, Nez Rouge, Le Survenant, Le Dernier Tunnel, et bien sûr Bon Cop Bad Cop, le film le plus lucratif de l’histoire cinématographique du Canada.

Son parcours à la télévision est tout aussi impressionnant avec des productions telles que Transplant, Ransom, Flashpoint, et The Hunger. Érik Canuel a été l’un des premiers réalisateurs québécois à travailler tant en anglais, pour des géants comme Disney, Showtime et NBC, qu’en français, collaborant avec des acteurs de renom comme Michel Côté, Jean Lapointe et Patrick Huard.

Le cinéma québécois perd ainsi une figure emblématique dont la contribution a fait rayonner notre culture au-delà des frontières.

Éric Beaupré
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