DRUMMONDVILLE
Mission accomplie pour la première édition du Festival de films international de Drummondville @ Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55 Tous droits réservés.
Annie Hamel, directrice du Cinéma Capitol, et l’équipe de Drummondvillois ayant permis la réalisation de ce premier rendez-vous du Festival de films international de Drummondville ont poussé un soupir de soulagement et de satisfaction. Ils pouvaient assurément dire mission accomplie, au terme de cette première édition du Festival de films international de Drummondville.
En effet, le public et les cinéphiles ont répondu présents à cet événement qui a mis à l’affiche une impressionnante programmation de courts métrages de grande qualité. De plus, les spectateurs ont eu l’occasion de participer à un atelier où ils ont pu rencontrer le réalisateur et scénariste Patrice Laliberté.
Le court métrage était à l’honneur grâce à l’équipe de l’organisation drummondvilloise, qui était soutenue par celle du Festival Pleins Écrans, également présente ce soir-là. Les cinq films spécialement sélectionnés pour cette première édition ont conquis les spectateurs présents et l’événement a suscité l’intérêt d’un public très varié.
La soirée avait des airs de tapis rouge, avec une équipe dirigée par Annie Hamel, qui n’avait rien négligé pour accueillir les spectateurs, ainsi que le réalisateur et scénariste Patrice Laliberté.
Patrice Laliberté est bien connu dans le milieu cinématographique et auprès des cinéphiles pour son court métrage « Overpass », qui a été présenté sur le grand écran du Cinéma Capitol pour l’occasion. Ce court métrage a remporté le prix du meilleur court métrage canadien au Toronto International Film Festival.
Le Festival a débuté par un cocktail, en début de soirée, suivi de la présentation des courts métrages. « Oasis », de Justine Martin, a ouvert la programmation, suivi de « Va jouer dehors », d’Adib Alkhalidey, un film divertissant de 18 minutes où l’humour était à l’honneur. Ensuite, « Piscine pro », d’Alec Pronovost, un court métrage de 9 minutes sélectionné en compétition au Festival du film de Sundance, raconte l’histoire de Charles-Olivier, un jeune homme confronté à une situation professionnelle inattendue après avoir terminé ses études en histoire et civilisation. Ce court métrage offre un regard intense et humoristique sur la situation, avec une réalisation impeccable et divertissante.
La soirée s’est poursuivie avec le court métrage « Fragments », d’Aline Sitoé, N’Diaye, une fiction qui nous plonge dans l’univers et l’apprentissage de la vie d’une jeune fille nommée Mery Rose, dotée d’une grande imagination.
Le court métrage « Viaduc », de Patrice Laliberté, touchant et captivant, a conclu avec succès cette première édition du Festival de films international de Drummondville. Les spectateurs ont également eu le plaisir d’échanger avec le réalisateur et scénariste Patrice Laliberté, qui a longuement discuté avec le public en clôture de la soirée.
Patrice Laliberté possède une feuille de route impressionnante avec plus d’une quarantaine de films à son actif. Grâce au film « Jusqu’au déclin », présenté sur Netflix, il a pu gagner en visibilité et faire connaître son talent en tant que réalisateur et scénariste.
Cette première édition a été un succès et les spectateurs rencontrés à la sortie ont souligné la qualité des courts métrages présentés ainsi que l’intérêt suscité par cet événement.
« Assurément, nous espérons voir d’autres éditions », a mentionné un couple, visiblement satisfait de leur soirée.
« C’est aussi une belle sortie, nous avons profité de notre passage à Drummondville pour prolonger notre séjour et assister à cette soirée », a exprimé un autre couple venu de Québec pour l’occasion.
Un petit groupe de cinéphiles drummondvillois souligne que cette soirée offre une belle opportunité de changer et de faire autre chose. « C’est bien, et ici, à Drummondville, nous sommes choyés d’avoir autant de beaux événements pour nous divertir », ont-ils conclu.
Patrice Laliberté n’a pas manqué de remercier Annie Hamel et son équipe drummondvilloise pour cette initiative.
En entrevue au Vingt55, le réalisateur et scénariste a affirmé que cette soirée avait dépassé ses attentes et qu’il s’agissait d’une première très réussie. Il a également souligné l’enthousiasme et l’intérêt du public drummondvillois, ainsi que son plaisir d’échanger avec lui.
« Drummondville a clairement marqué un grand coup avec ce festival. Un festival qui met en lumière le talent de nombreux scénaristes et réalisateurs et présente des films qui sont moins souvent projetés sur grand écran et qui permet aussi, bien sûr, de divertir avec la présentation de films plus courts et tout aussi divertissants. L’action, l’humour, la science-fiction, autant de choix que d’excellents films », a-t-il ajouté à la faveur du septième art.
Le réalisateur affirme qu’il y aura toujours une place pour les films en salle. Cette soirée en est une belle démonstration. « Le cinéma a beaucoup évolué, ces dernières années, mais il est là pour rester. »
La directrice générale de Ciné Film RGFM et du cinéma Capitol confirme qu’il y aura une seconde édition pour le Festival de films international de Drummondville.
De son côté, Annie Hamel, directrice générale du cinéma Capitol, était visiblement heureuse de la réception de cette première édition. Elle a tenu à remercier le public présent ainsi que l’équipe ayant permis la réalisation de cet événement.
« La première est passée et le pari est assurément réussi », a-t-elle mentionné fièrement.
Elle confirme déjà que deux autres projets sont prévus en septembre, possiblement en octobre pour l’Halloween. Elle espère que cette première édition trouvera sa place parmi les événements d’appellation à Drummondville.
Cette première édition a été un succès, et les spectateurs rencontrés à la sortie ont souligné la qualité des courts métrages présentés ainsi que l’intérêt suscité par cet événement.
Assurément, nous espérons voir d’autres éditions, a mentionné un couple visiblement satisfait de leur soirée. C’est aussi une belle sortie, nous avons profité de notre passage à Drummondville pour prolonger notre séjour et assister à cette soirée, a ajouté un autre couple venu de Québec pour l’occasion. Un petit groupe de cinéphiles drummondvillois souligne que cette soirée offre une belle opportunité de changer et de faire autre chose. C’est bien, et ici à Drummondville, nous sommes choyés d’avoir autant de beaux événements pour nous divertir, ont-ils conclu.
Patrice Laliberté n’a pas manqué de remercier Annie Hamel et son équipe drummondvilloise pour cette initiative.
En entrevue au Vingt55, le réalisateur et scénariste a affirmé que cette soirée avait dépassé ses attentes et qu’il s’agissait d’une première très réussie. Il a également souligné l’enthousiasme et l’intérêt du public Drummondvillois, ainsi que son plaisir d’échanger avec lui. ‘’ Drummondville a clairement marqué un grand coup avec ce festival. Un festival qui met en lumière le talent de nombreux scénaristes et réalisateurs et présente des films qui sont moins souvent projetés sur grand écran et qui permet aussi bien sur de divertir avec la présentions de films plus courts et tout aussi divertissants, l’action, l’humour, la science-fiction autant de choix que d’excellent films a-t-il ajouté à la faveur du 7e arts.
Le réalisateur affirme qu’il y aura toujours une place pour les films en salle, et cette soirée en est une belle démonstration. Le cinéma a beaucoup évolué ces dernières années, mais il est là pour rester.
La directrice générale de Ciné Film RGFM et du cinéma Capitol confirme qu’il y aura une seconde édition et suite pour Festival de films international de Drummondville.
De son côté, Annie Hamel, directrice générale de Ciné Film RGFM et du cinéma Capitol, était visiblement heureuse de la réception de cette première édition. Elle a tenu à remercier le public présent ainsi que l’équipe qui a permis la réalisation de cet événement. La première est passée et le pari est assurément réussi, a-t-elle mentionné fièrement. Elle confirme déjà que deux autres projets sont prévus en septembre possiblement et assurément en ocotobre pour l’halloween, elle espère que cette première édition trouvera sa place parmi les événements d’appellation à Drummondville.
Mission accomplie pour la première édition du Festival de films international de Drummondville @ Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55 Tous droits réservés.
