Les employés de l’usine Soucy Belgen manifestent lors d’une première journée de grève à Drummondville

Les employés de l’usine Soucy Belgen manifestent lors d’une première journée de grève à Drummondville
C’est forts d’un mandat de grève de cinq jours, qui a été voté à 98 % par la centaine d’employés de l’entreprise, que les employés ont débuté leur manifestation, ce matin, devant l’usine. © Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55. Tous droits réservés.

DRUMMONDVILLE

Insatisfaits des négociations de leur nouvelle convention de travail, les travailleurs et travailleuses de l’entreprise Soucy Belgen occupent l’entrée de l’usine, située au 4475, boulevard Saint-Joseph, à Drummondville.

C’est forts d’un mandat de grève de cinq jours, qui a été voté à 98 % par la centaine d’employés de l’entreprise, que les employés ont débuté leur manifestation, ce matin, devant l’usine. © Entrevue vidéo Eric Beaupré / Vingt55. Tous droits réservés.

C’est forts d’un mandat de grève de cinq jours, qui a été voté à 98 % par la centaine d’employés de l’entreprise, que les employés ont débuté leur manifestation, ce matin, devant l’usine.

Les employés en grève souhaitent faire connaître leur mécontentement dans les négociations qui achoppent.

« Nous tentons d’obtenir la parité au niveau salarial avec les travailleurs de l’industrie », explique Daniel Giroux, électromecanicien à l’usine Soucy Belgen rencontré sur place par le Vingt55. « Nous souhaitons obtenir des conditions similaires à d’autres fonderies au Québec.

En plus de combler l’écart salarial, nous demandons également un ajustement sur les jours de vacances alloués à nos collègues de l’industrie. »

Contactée par le Vingt55 Mme Joanie Mailhot, Chef des communications de l’entreprise Soucy Belgen confirme que la direction et en négociation avec les syndicats ‘’ Nous réservons pour le moment nos échanges avec les représentants syndicaux, nous demeurons ouverts aux propositions raisonnables assure la direction qui ne commentera pas davantage durant les négociations confirme Mme Mailhot en entrevue au Vingt55

« Nous souhaitons un dialogue avec l’employeur. Après plusieurs rencontres, nos échanges sont demeurés infructueux et l’employeur semble peu enclin à négocier sur nos différents points en litige. »

C’est forts d’un mandat de grève de cinq jours, qui a été voté à 98 % par la centaine d’employés de l’entreprise, que les employés ont débuté leur manifestation, ce matin, devant l’usine.

Les employés en grève souhaitent faire connaître leur mécontentement dans les négociations qui achoppent.

« Nous tentons d’obtenir la parité au niveau salarial avec les travailleurs de l’industrie », explique Daniel Giroux, électromecanicien à l’usine Soucy Belgen rencontré sur place par le Vingt55. « Nous souhaitons obtenir des conditions similaires à d’autres fonderies au Québec.

En plus de combler l’écart salarial, nous demandons également un ajustement sur les jours de vacances alloués à nos collègues de l’industrie. » précise le travailleur

« Nous souhaitons un dialogue avec l’employeur. Après plusieurs rencontres, nos échanges sont demeurés infructueux et l’employeur semble peu enclin à négocier sur nos différents points en litige. » explique Daniel Giroux au micro du Vingt55

Les employés en grève entendent cependant retourner à la table de négociation afin de garder les discussions ouvertes.

« Nous n’excluons pas de retourner en débrayage et sur les lignes de piquetage », affirme un autre employé rencontré ce matin sur la ligne de piquetage.

Tous souhaitent que la voie des négociations soit celle favorisée par l’employeur.

Contactée par le Vingt55 Mme Joanie Mailhot, Chef des communications de l’entreprise Soucy Belgen confirme que la direction et en négociation avec le syndicat.

‘’ Nous réservons pour le moment nos échanges avec les représentants syndicaux, nous demeurons ouverts aux propositions raisonnables assure la direction qui ne commentera pas davantage durant les négociations confirme Mme Mailhot en entrevue au Vingt55

Les employés en grève entendent cependant retourner à la table de négociation afin de garder les discussions ouvertes.

« Nous n’excluons pas de retourner en débrayage et sur les lignes de piquetage », affirme un autre employé rencontré ce matin sur la ligne de piquetage.

Tous souhaitent que la voie des négociations soit celle favorisée par l’employeur.

C’est forts d’un mandat de grève de cinq jours, qui a été voté à 98 % par la centaine d’employés de l’entreprise, que les employés ont débuté leur manifestation, ce matin, devant l’usine. © Crédit photo Eric Beaupré / Vingt55. Tous droits réservés.

Éric Beaupré
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