DRUMMONDVILLE
Ces investissements visent à soutenir directement les camps de vacances du Québec qui accueillent des personnes en situation de pauvreté, handicapées ou ayant des limitations particulières, pour la réalisation de leurs activités estivales.
À l’échelle nationale, ce sont plus de 27,4M$ qui seront investis pour soutenir 60 projets.
« Tout le monde doit avoir accès à des activités sportives, récréatives ou de plein air, peu importe sa condition. Grâce à ces camps de vacances, des milliers de jeunes en situation particulière pourront, sous une forme ou une autre, pratiquer des activités adaptées à leur condition, de manière sécuritaire. , , mentionne Isabelle Charest, ministre responsable de Sport, du Loisir et du Plein air . J’aimerais remercier sincèrement toutes les personnes qui travaillent dans ces camps auprès de nos enfants. Vous faites un travail admirable. Je suis convaincue que tous les parents du Québec se joignent à moi pour vous dire merci. »
« Les colonies de vacances sont des lieux formateurs pour nos jeunes. Ils y forgent des liens d’amitié et des souvenirs qu’ils conserveront toute leur vie ajoute Chantal Rouleau, ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire. Ce sont aussi des lieux d’apprentissage et de transmission de valeurs, notamment l’entraide et de la bienveillance, qui renforcent notre société. Grâce à notre Plan d’action en matière d’action communautaire, les colonies de vacances seront accessibles à plus de jeunes en situation de handicap ou issus de milieux défavorisés cet été, au profit du Québec tout entier. »
« En plus d’offrir un éventail d’activités aux enfants en situation de vulnérabilité et de contribuer à leur épanouissement, les camps permettent aussi d’accorder des moments de répit aux familles précise Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux. Je joins ma voix à celles de mes collègues pour saluer cette initiative et pour remercier tous les intervenants de nos camps de vacances. Votre travail fait une réelle différence dans la vie de ces jeunes. »
« Le financement annoncé aujourd’hui permet de soutenir l’organisation de camps de vacances pour les enfants et les adultes avec des besoins particuliers de la communauté drummondvilloise. Je souligne l’implication de la directrice du Centre Normand-Léveillé, Kim Martineau, et du reste de son équipe, qui soutient cette clientèle vulnérable et offre des moments de répit à leurs proches aidants pendant la saison estivale. » mentionne pour sa part le ministre et député de Johnson André Lamontagne.
« Je suis très fier encore une fois de pouvoir aider financièrement le centre Normand-Léveillé, affirme de son côté Sébastien Schneeberger, député de Drummond-Bois-Francs. si cher pour beaucoup de familles qui peuvent ainsi laisser leurs enfants en toute sécurité pendant la saison estivale. Cela permet aux parents de prendre un répit bien mérité, mais aussi de casser la routine aux jeunes et moins jeunes et de fraterniser avec d’autres personnes en situation de handicap et d’avoir des loisirs comme chacun d’entre nous. Je remercie tout le personnel pour leur travail tellement apprécié par les bénéficiaires, vous faites vraiment un changement dans leurs vies. »
« Depuis plus d’un siècle, les camps de vacances du Québec permettent aux enfants et aux familles de séjourner en nature et d’y vivre des expériences riches fait valoir. Éric Beauchemin, directeur général de l’Association des camps du Québec. Reconnus comme des milieux de développement personnel et social de choix, les camps favorisent l’adoption de saines habitudes de vie et l’égalité des chances. À travers ses programmes de soutien à l’accès aux camps de vacances, le gouvernement permet aux camps certifiés de continuer de jouer ce rôle important auprès des populations pour qui l’accès aux camps est difficile, voire impossible. »
Ces investissements s’inscrivent dans le cadre du Programme d’aide financière à l’accessibilité aux camps de vacances (PAFACV) 2024-2027.
Une bonification importante de l’enveloppe régulière est également rendue possible grâce à des sommes tirées du Plan d’action gouvernemental en action communautaire (PAGAC) 2022-2027 ainsi que du Plan d’action interministériel 2022‑2025 de la Politique gouvernementale de prévention en santé (PGPS).